21 août 2013, 22h15
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La dette d’entreprise des pays émergents est là pour rester. Avec des hauts et des bas comme toutes les classes d’actifs, elle a, en quelque sorte, atteint l’âge adulte. Avec un PIB émergent dont la part croit inexorablement, il ne s’agit plus d’un investissement exotique ni même d’une classe d’appoint. Les réunions du G20, plus fréquentes et plus marquantes que celles du G8 en sont la preuve. De même que la contribution croissante des émergents au FMI. Sur le long terme, la démographie, la haus...
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