13 février 2019, 20h39
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La solidité de l’économie US et le nouveau discours accommodant de la Réserve Fédérale ont permis la poursuite de la reprise boursière fin janvier. L’Europe, cependant, ne lasse pas d’inquiéter les observateurs, avec une économie qui continue de ralentir, une Banque centrale européenne qui semble passive, voire paralysée, et l’épée de Damoclès d’un Brexit «dur» toujours en place.
Les faits d’abord. Les estimations du PIB de la zone euro au quatrième trimestre (+0,2% sur le trimestre, +1,2% sur ...
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