13 mars 2018, 22h08
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Dans l’ambiance euphorique de début d’année, le pétrole a connu une envolée spéculative vers 70$. Cette fièvre spéculative participait activement à l’euphorie qui prévalait sur les marchés financiers: un pétrole cher permet de gonfler la valorisation boursière du secteur énergétique, qui représente un poids élevé dans de nombreux indices; la cherté du baril va souvent de pair avec un dollar faible, qui est un ferment de l’appétit pour le risque sur les marchés.
La correction boursière de févrie...
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