06 mai 2012, 21h32
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Comme c’est étrange. Il y a encore quelques trimestres, les investisseurs encourageaient les sociétés actives dans la pharma, la biotech et la medtech d’accroître les dépenses R&D de manière plus que substantielle. Le but étant d’être encore en vie dans une décennie et au-delà grâce à des solutions à très forte valeur ajoutée. Aujourd’hui, pourtant, ce sont les groupes ayant publié les meilleurs résultats trimestriels (ils ont du moins dépassé les attentes) qui font l’objet des volumes d’emp...
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