17 janvier 2019, 15h52
Partager
C’est un paradoxe, mais l’échec cuisant essuyé par la première ministre permet d’envisager d’autres approches qui s’avèrent en grande majorité favorables pour les actions européennes.
Le report de l’application du fameux article 50 à une date ultérieure n’est plus une probabilité, c’est devenu quasiment une certitude. Une extension de 3 mois offre par exemple la possibilité d’organiser un 2e référendum (éventuellement sur 2 questions, rester et/ou adopter l’accord), une «solution» qui recueille...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT