16 avril 2013, 22h16
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Le traitement du cas chypriote est riche en enseignements sur la suite de la crise dans la zone euro. Il nous démontre que pressée par les élections fédérales de septembre/octobre, Angela Merkel est peu encline à présenter au Parlement allemand un projet de sauvetage d’un pays de la périphérie ou le renflouement de banques étrangères. Elle estime probablement qu’avec la création du MES, l’Allemagne a fait suffisamment en termes de mutualisation de la dette. En outre, elle estime qu’avec les LTRO...
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