24 juillet 2019, 18h44
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Il peut y avoir de bons arguments contre la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE). Surtout l’introduction de taux négatifs, qui ont gagné entre temps jusqu’aux durées supérieures à cinq ans, même pour les obligations d’entreprises.
Les banques qui doivent payer des intérêts pour leurs réserves conservées à la BCE ne sont pas les seules victimes, les investisseurs doivent aussi supporter des rendements négatifs sur une grande partie de leurs placements à taux fixes.
Étant ...
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