23 janvier 2013, 22h28
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«Je lis beaucoup les commentaires alarmistes, mais je ne trouve pas d’éléments qui m’inquiètent», explique Philippe Jabre lorsqu’on lui demande son outlook pour 2013. Selon le gérant genevois, les marchés sont beaucoup plus prévisibles depuis l’été dernier, mais peu d’intervenants en sont conscients.
Les convulsions de marché de la première moitié de 2012 ont laissé des traces. Après la crise de 2008 puis celle de 2010-2011, ces phénomènes ont fini de démoraliser les investisseurs, surto...
Les convulsions de marché de la première moitié de 2012 ont laissé des traces. Après la crise de 2008 puis celle de 2010-2011, ces phénomènes ont fini de démoraliser les investisseurs, surto...
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