23 janvier 2019, 17h04
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Aujourd’hui, seuls 7% de notre vignoble est certifié bio. Pour le vigneron et médecin de famille Jean-Charles Estoppey, cela ne signifie pas que la profession est insensible aux questions environnementales. Lui-même a recours à moins de cuivre que les viticulteurs bio. «Les labels bio permettent d’utiliser ce métal lourd jusqu’à 4 kilos par hectare par année. Ici, nous pouvons légitimement nous poser la question de l’impact écologique de telles quantités déversées qui restent dans le sol ou fini...
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