09 octobre 2019, 19h16
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«C’est compliqué.» Cette phrase revient fréquemment dans la bouche des propriétaires-encaveurs qui doivent écouler leur vin. «A la sortie de l’école de Changins, je me disais que la production allait représenter le plus grand défi, or c’est la vente», déclare Sandrine Caloz de la cave éponyme à Miège.
Si la Valaisanne a profité d’une belle notoriété suite à son titre de vigneronne Bio Suisse de l’année, elle concède qu’il faut être proactif et sans cesse remettre l’ouvrage sur le métier. Elle ...
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