03 septembre 2018, 17h11
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«Nous entrons dans une période cruciale. Si nous vendangeons trop tôt ou trop tard, cela se répercutera sur la qualité du vin. Et c’est une année de travail qui part en fumée. Cela se joue parfois à deux ou trois jours d’intervalle», déclare Gilles Besse, co-directeur avec son oncle de la cave Jean-René Germanier à Vétroz. L’entreprise valaisanne a débuté la récolte hier. Les vendanges s’étalent sur un mois et demi. «Cette année, le millésime s’annonce beau et abondant», précise Gilles Besse.
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