07 mai 2019, 17h10
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«Notre objectif est de donner une porte ouverte à des entrepreneurs qui sont hors des réseaux habituels. Nous pensons que pour innover, il faut mettre en contact les bonnes personnes dans des petites structures», explique Camille Bossel (25 ans). Avec son mari Arman Anatürk (24 ans), ils ont fondé Foodhack en 2016. Le point de départ a été un hackathon organisé à Genève sur le thème du gaspillage alimentaire. «Après cet événement, il y a eu une sorte d’apothéose, mais les participants déploraien...
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