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Suisse - Chine

Le ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis a rencontré son homologue chinois Wang Yi à Pékin jeudi
Le conseiller fédéral Guy Parmelin recevait le vice-Premier ministre chinois Ding Xuexiang à Berne le 20 janvier.
Filiale à 100% aux mains de l'Autorité monétaire de Hong Kong (HKMA), CMU OmniClear Limited est en passe de devenir un dépositaire central de titres (DCT) régional en Asie.
La Chine a annoncé samedi un recours massif à l'endettement public, avec notamment des obligations spéciales, pour soutenir son économie en perte de vitesse.
L'antimoine est utilisé dans l'industrie photovoltaïque pour ses propriétés ignifugeantes, dans les semi-conducteurs pour améliorer les puces électroniques, et dans l'industrie spatiale pour divers composants critiques.
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La commission renonce à y intégrer davantage les droits humains, ce qui suscite la colère de la gauche.
Le nombre de cas liés au terrorisme a «considérablement augmenté» en Suisse au cours des deux ou trois dernières années, selon le MPC.
Le gouvernement promet aussi de faire en sorte que les petites et microentreprises éligibles dans le secteur des services puissent bénéficier d'un soutien financier plus important.
«La Chine continue d’appliquer sa stratégie dite des zones grises. On le voit aussi dans l’intensification de ses gesticulations dans le détroit de Taïwan depuis l’élection du nouveau président Lai Ching-te.»
Face à des ventes électriques qui se tassent plus ou moins selon les pays européens, la marque lance aussi des voitures hybrides rechargeables (PHEV), comme le SUV «Seal U DM-i».
Le chef du département fédéral des affaires étrangères Ignazio Cassis s’est rendu à Pékin le mois dernier. C'était la première visite d'état officielle d'un chef de gouvernement dans l'Empire du Milieu depuis 4 ans.
L'accord entré en vigueur en 2014 ne contient aucune clause relative à l'environnement et aux droits humains.
Le constructeur automobile chinois de voitures électriques BYD, actuellement exposant au GIMS, commercialisera ses produits en Suisse dès le deuxième trimestre 2024.
Depuis le 1er décembre, les Français, Allemands, Italiens, Néerlandais, Espagnols et Malaisiens n’ont plus besoin de visa pour se rendre en Chine pour les voyages de moins de quinze jours.
«Il faut prendre du recul et regarder les choses de loin», comme pour les Alpes, a souligné Li Qiang.
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Le ministre de l'Economie, Guy Parmelin, à l'avant droit, et Wang Shouwen, vice-ministre chinois du ministère du Commerce, à l'avant gauche, se serrent la main après avoir signé une déclaration commune sur l'accord de libre-échange aux côtés de la présidente suisse Viola Amherd, à l'arrière droit, et du Premier ministre de de la République populaire de Chine, Li Qiang, à l'arrière gauche.
La dernière visite officielle entre la Suisse et la Chine remonte à 2019, lorsque le président de la Confédération Ueli Maurer s’était déplacé à Pékin pour la deuxième édition du Sommet des Nouvelles routes de la soie.
Le Premier ministre chinois est également attendu au Forum économique de Davos.
Est-ce que la Suisse peut se passer de la Chine?
«En octobre 2022, lors du XXe congrès du parti communiste, le président Xi Jinping a cassé le contrat social en renforçant le contrôle politique sur le capital privé, afin d’empêcher notamment le secteur numérique de devenir oligopolistique», explique David Baverez.