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Série élections fédérales 2023

Notre série d’entretiens avec les présidents des six premiers partis du pays a mis en lumière de fortes disparités.
«Le Parlement profiterait aussi d’un Conseil fédéral à la dynamique renouvelée, capable de faciliter les compromis et d’avoir aussi une vision parfois audacieuse.»
Le président des Vert'libéraux siège à la Commission de l'économie et des redevances et dirige une société d’une cinquantaine d’employés active dans la planification électrique.
Le conseiller national zurichois Balthasar Glättli préside Les Verts depuis 2020: «Se libérer de notre dépendance du fossile, c’est aussi une décision intelligente sur le plan économique.»
Le Zougois Gerhard Pfister préside depuis 2016 le Parti démocrate-chrétien, devenu Le Centre en 2020 lors de sa fusion avec le Parti bourgeois-démocratique.
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Thierry Burkart, président du PLR: «Il est nécessaire que nous nous attaquions désormais aux réformes économiques qui s’imposent, si nous ne voulons pas que la Suisse perde sa capacité à tisser des liens et donc sa prospérité.»
«Les mesures de compensation pour l’impôt de l’OCDE doivent aussi profiter aux gens et aux PME», estime Mattea Meyer, coprésidente de la première force politique de gauche.
Marco Chiesa, président de l'UDC: «La dynamique migratoire actuelle n’a pas mené à plus de bien-être et a maintenu un manque de main-d’œuvre.»