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Nathalie Praz

Journaliste
Nathalie Praz
«Certaines entreprises utilisent cependant le rachat pour donner l’impression que tout va bien, alors que leur situation réelle est plus précaire», reconnaît le professeur Dusan Isakov.
«Les établissements privés feraient mieux de chercher à établir un modèle de tarification qui lierait plus étroitement les coûts aux indicateurs de qualité et aux résultats cliniques plutôt que d’appliquer les honoraires imposés par chirurgiens», tranche Felix Schneuwly, spécialiste de l'économie de la santé chez Comparis.
«Trop nombreux sont ceux qui utilisent le conditionnel pour évoquer de possibles réformes du système de santé. Pour ma part, je préfère parler au présent et de ce qu’à notre échelle, en tant qu’entreprise, nous pouvons faire. Et aussi au futur – ce qui sera fait», explique Fabrice Zumbrunnen, CEO d'Aevis Victoria.
L’avenir nous dira si sous la présidence de Robert Cramer, les SIG détromperont la culture des petits arrangements si coutumière de la République genevoise.
Dans son nouveau rôle, Pierre Bernheim sera chargé du développement des affaires, mais sans intervenir dans la gestion quotidienne des finances ou des comptes clients.
«Nous sommes convaincus de l'utilité des drones, notamment dans le secteur médical pour la livraison de fournitures d’urgence et l’expansion de nos services liés à la santé», affirme le TCS.
Pour Suzanne Winter, présidente et CEO d’Accuray, ce nouveau site de formation, le premier en Europe, représente «une chance unique d’accélérer les activités de R&D grâce à la proximité et aux échanges directs entre les équipes médicales de Genolier et les ingénieurs d’Accuray»
La réforme Efas vise à privilégier les traitements ambulatoires et ainsi mettre fin à une incitation inopportune des séjours à l’hôpital, génératrice de coûts inutiles.
Mario Irminger, président de la direction du groupe, a présenté le bilan 2023.
Daniel Koller, responsable des investissements chez BB Biotech et Stefan Catsicas fondateur du cabinet de conseil vaudois Skyviews Life Science attirent l'attention des investisseurs sur des segments spécifiques telles les technologies du microbiome.
Dans son combat contre ces augmentations, Stefan Meierhans, qui se définit comme le «Robin des Bois» des consommateurs, a préconisé, dans son rapport annuel 2023, des mesures d’économies à hauteur d’un milliard de francs dans le secteur de la santé.
Les patients, tout comme les cantons qui ont déjà investi passablement ces dernières années dans l’exploitation du DEP, sont les véritables victimes collatérales de ces tergiversations regrettables au sein du Parlement.
Si la fermeture de l'unique site de production en Suisse devenait inévitable, l’un des acteurs majeurs du secteur en Europe prévoit de réorienter sa clientèle suisse vers d'autres sites de production du groupe situés à proximité, comme en Autriche et en Italie.
«On peut clairement subodorer que quelques investisseurs aient été au parfum avant la communication officielle», avance l’avocat genevois Douglas Hornung, concernant les suspicions de délit d'initié planant sur Idorsia.
L'action de la société biotech Idorsia s'est envolée à la Bourse suisse depuis vendredi. Un regain de confiance des investisseurs pourrait expliquer cette forte hausse.
Les reproches pleuvent sur le conseil d’administration des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) lorsque l’on interroge les élus et les partis politiques, les spécialistes et les administrateurs eux-mêmes.
Administrateur désigné par Vaud pour le représenter aux HUG, Pierre-François Leyvraz déclare que «lorsque je suis parti à la retraite du Chuv, il était convenu que le secrétariat général de l’hôpital fasse le nécessaire pour me remplacer».
Selon Statistique Vaud, en 2021, 39% du personnel de santé est actif au sein des hôpitaux et 17% dans des cabinets de médecins ou de dentistes.
«Depuis la création de Amazentis en 2007, la maison mère de Timeline, il s'agit de la plus grande levée de fonds que nous ayons jamais réalisée», souligne Chris Rinsch, son cofondateur. De gauche à droite: Corinne Briaud, Anurag Singh, Federico Luna, et Chris Rinsch.
Le fonds de capital-risque du groupe L’Oréal, Bold, prend une participation minoritaire dans la biotech vaudoise Timeline.

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