Le président de la Confédération Guy Parmelin a lancé un vibrant plaidoyer pour la vaccination. "Il faut le faire pour protéger nos proches, pour que les gens puissent gagner leur vie et les entreprises reprendre leurs activités et assurer la prospérité du pays."
C'est aussi le meilleur moyen "pour mettre fin à la situation intolérable que nous vivons au quotidien", a ajouté le ministre devant la presse réunie à Berne. Les personnes ne faisant pas partie des groupes prioritaires peuvent déjà s'inscrire. "Nous sommes prêts à vacciner toutes les personnes qui le souhaitent."
Les vaccinations commencent à prendre leur rythme, a-t-il encore précisé. Les effets positifs ne se feront toutefois ressentir que dans quelque temps.
Exemple du Conseil fédéral
Interrogé sur la vaccination de certains membres du Conseil fédéral n'appartenant pas aux groupes à risque, le porte-parole du gouvernement André Simonazzi a expliqué la décision par deux raisons. Cela permet d'assurer à la population que ces vaccins sont sûrs et lui donner un sentiment de confiance.
Par ailleurs, le Conseil fédéral est principalement en charge de la crise de coronavirus, a poursuivi M. Simonazzi. Il doit être protégé pour pouvoir fonctionner. (awp)