23 août 2020, 12h38
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Les services de sécurité chinois peuvent enquêter en Suisse depuis 2015 pour déterminer la nationalité et l’identité de leurs ressortissants résidant de manière illégale. Il peut s’agir de demandeurs d’asile déboutés, d’immigrés clandestins ou encore de sans-papiers.
L’accord entre Berne et Pékin n’a pas été publié dans le Recueil systématique du droit fédéral, a indiqué dimanche à Keystone-ATS le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM), confirmant une information de la NZZ am Sonntag. Un porte...
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