21 avril 2020, 10h50
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Cette évolution inédite traduit l'arrivée à saturation des capacités d'entreposage au pays de l'oncle Sam, alors que la pandémie de coronavirus assèche la demande en hydrocarbures.La panique a atteint de telles proportions lundi, que plus personne ou presque ne souhaite détenir de contrats sur le pétrole parvenant à échéance aujourd'hui et que les possesseurs de tels contrats sont prêts à rémunérer les investisseurs qui les en débarrasseraient, explique Ipek Ozkardeskaya."Trop fiers ou trop...
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