24 janvier 2018, 11h50
Partager
A première vue, la participation jeudi et vendredi du milliardaire américain à cette grand-messe de la mondialisation a toutes les raisons de mal se passer, la faute au programme ouvertement protectionniste et aux accents populistes du président américain.
Mais le mois dernier, Donald Trump a exaucé les souhaits de bien des grands patrons américains en faisant passer une vaste réforme fiscale qui prévoit notamment une baisse du taux d'imposition des entreprises de 35% à 21%.
Cette offensive fa...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT