12 février 2018, 21h40
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GeNeuro est parvenu à élargir sa marge de manoeuvre financière sur l’ultime trimestre de l’an dernier, grâce essentiellement à des versements d’étape liés au développement de son traitement expérimental le plus avancé, le GNbAC1, destiné à lutter contre des maladies auto-immunes. Le laboratoire genevois - émanation du français Servier et coté depuis 2014 à Paris - disposait fin 2017 de 26,1 millions d’euros de liquidités et équivalents, contre 16,4 millions d’euros trois mois plus tôt.
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