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Un million pour la protonthérapie de nouvelle génération de Terapet

Malgré la crise sanitaire, le «seed round» de Terapet a drainé l’intérêt d’investisseurs genevois et espagnol. Ce spin-off du CERN cherche à donner un outil de précision aux oncologues qui combattent des tumeurs à l'aide de faisceaux de protons.

Les physiciens du CERN, Christina Vallgren et Marcus Palm, ont fondé la start-up en juillet 2019. Ils ont ensuite été rejoint par le Pr. Raymond Miralbell, ancien médecin-chef du département de radio-oncologie aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). (Venturekick)
Les physiciens du CERN, Christina Vallgren et Marcus Palm, ont fondé la start-up en juillet 2019. Ils ont ensuite été rejoint par le Pr. Raymond Miralbell, ancien médecin-chef du département de radio-oncologie aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). (Venturekick)
Sophie Marenne
L'Agefi - Journaliste
02 juillet 2020, 15h36
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Covid-19 ou pas, il fallait des fonds à Terapet pour mener à bien la validation clinique de sa solution de précision en protonthérapie. Elle a clos, ce mercredi, une levée de fonds d’amorçage d’un million de francs.   En février, la start-up installée au campus Biotech genevois a préparé ses données, son «pitch», son business plan: tout pour susciter l’intérêt d’investisseur d’ici et d’au-delà des mers. «Malheureusement avec la pandémie, tout s’est arrêté», raconte Christina Vallgren. Elle ...
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