01 décembre 2015, 21h01
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En pleine croissance, le pan domestique de l’économie suisse fait office d’amortisseur absorbant les chocs, induits par la force du franc, qui frappent les secteurs exportateurs. Deux facteurs continueront en effet de soutenir les dépenses de consommation et de construction. D’une part l’immigration annuelle, l’équivalent de 1% environ de la population et, de l’autre, la politique monétaire toujours très accommodante de la Banque Nationale Suisse (BNS) selon UBS. «Cette immigration garantit quas...
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