10 mars 2016, 21h26
Partager
Genève et la Suisse peinent à développer véritablement l’activité de gestion d’actifs, pourtant présentée comme un relais de croissance pour la place financière après l’abandon du secret bancaire. Un éventuel Brexit n’y changerait rien, les acteurs britanniques étant refroidis par l’impossibilité de distribuer leurs produits s’ils venaient gérer en Suisse.
«La question est réglée en dix minutes lorsqu’on en parle avec eux», résume l’avocat François Rayroux, qui participait cette semaine à une c...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT