19 février 2015, 20h55
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Parmi les nombreuses réflexions pessimistes qui ont suivi la décision de la Banque Nationale Suisse (BNS) d’abandonner le soutien du franc vis-à-vis de l’euro, la voix de Pascal Kiener, président de la Direction de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV), a été l’une des plus mesurées. Des difficultés certes, mais pas de scénario catastrophe. Un mois après l’annonce-surprise de la BNS et à l’occasion de la présentation des résultats de la BCV, il confirme son sentiment.
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