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Schmolz + Bickenbach a dû procéder à une forte dépréciation

Le groupe aciériste basé à Lucerne a subi les effets adverses des taxes sur les importations d'acier tant des Etats-Unis que de l'Union européenne.

Jens Alder. Il est candidat pour rejoindre le Conseil d'administration de Schmolz + Bickenbach et accéder à la présidence.
Jens Alder. Il est candidat pour rejoindre le Conseil d'administration de Schmolz + Bickenbach et accéder à la présidence.
13 mars 2019, 18h29
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Les taxes douanières sur l’acier de part et d’autre de l’Atlantique ont bien contribué à ternir le bilan d’une année 2018 de Schmolz + Bickenbach dont les neuf premiers mois étaient placés sous le signe de la reprise. Leurs effets ont été renforcés par le fait que ni le Canada, ni la Suisse ne se trouvent à l’intérieur des régions que ces mesures visent à protéger. Cela concerne tout particulièrement les sites canadiens de Finkl Steel (cette entité gère des usines tant au Canada qu’aux Etats-Uni...
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