20 mai 2015, 15h09
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Depuis son arrivée au pouvoir au mois de janvier, le gouvernement grec du Premier ministre Alexis Tsipras et son parti Syriza considèrent la menace du défaut – et par conséquent le risque de crise financière susceptible de faire exploser l’euro – comme lui conférant un levier de négociation de nature à compenser le manque de puissance économique et politique de la Grèce. Quelques mois après les élections, Tsipras et son ministre des Finances Yanis Varoufakis, expert universitaire de la théorie d...
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