23 juin 2014, 22h18
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Il n’y a aucune raison objective d’écarter encore le scénario du pire concernant l’évolution de la structure d’Alstom en Suisse, en particulier dans la perspective de l’engagement pris par General Electric à créer 1000 postes de travail en France. Un point de l’accord conclu ce week-end entre Alstom, GE et le gouvernement Hollande-Montebourg, assorti le cas échéant d’une pénalité conséquente de 50.000 euros par emploi non créé. Un millier d’emplois, c’est à peine moins d’un sixième des ressource...
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