03 février 2014, 22h07
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L’arbitrage que permettent les paradis fiscaux est fondamentalement positif. Il ne remet pas en question la conformité aux lois fiscales nationales, mais sert tout au plus de correctif à la marge contre les risques de dissipation de capital induite par une surimposition des bénéfices. Cela vaut pour tous les impôts sur les entreprises, réputés les plus nuisibles économiquement, vu qu’ils grèvent directement des ressources destinées à être utilisées dans le processus de création de valeur. A ceci...
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