31 janvier 2013, 22h36
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La Commission européenne a adressé une communication des griefs aux groupes pharmaceutiques bâlois Novartis et américain Johnson & Johnson. Elle soupçonne ceux-ci de s’être entendus pour retarder la mise sur le marché aux Pays-Bas d’un médicament générique. Il s’agit de la deuxième phase de l’enquête de la Commission, ouverte en octobre 2011, concernant le Fentanyl, un analgésique plus puissant que la morphine.
«Si nos conclusions préliminaires se confirment, les filiales néerlandaise...
«Si nos conclusions préliminaires se confirment, les filiales néerlandaise...
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