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Monnaie virtuelle et cybercriminalité

Rançongiciels. Le bitcoin est utilisé dans la majorité des demandes de rançons. Analyse de l’ampleur du phénomène avec une experte, professeur de l’Unil.

Solange Ghernaouti, professeur à l’Unil, experte internationale en cybersécurité, directrice du Swiss Cybersecurity Advisory & Research Group
Solange Ghernaouti, professeur à l’Unil, experte internationale en cybersécurité, directrice du Swiss Cybersecurity Advisory & Research Group
10 mai 2016, 21h06
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Alors que la traque classique des policiers pour démasquer les criminels passe par l’analyse des flux financiers, le recours à l’utilisation d’une monnaie virtuelle, comme le bitcoin, efface toute traçabilité. Les demandes de rançons après un piratage se multiplient contre les entreprises et les particuliers. Un logiciel malveillant (maliciel) s’immisce dans l’ordinateur et crypte toutes les données informatiques. Solange Ghernaouti, professeur à l’Unil, experte internationale en cybersécurité, ...
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