26 juillet 2018, 17h37
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Au premier trimestre, 1,7 million de personnes travaillait à temps partiel, soit 8000 individus de plus qu’à la même période de l’année passée, selon les chiffres de l’Office fédéral de la statistique (OFS).
Les entreprises sont toujours plus nombreuses à se montrer favorables à ce type de travail, dans le but d’augmenter leur attractivité. Alpiq affirme, par exemple, offrir à ses collaborateurs des conditions attrayantes, y compris des modèles flexibles comme le job sharing et le temps partie...
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