17 décembre 2014, 22h49
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Ce sont des ajustements minimalistes, mais que le Conseil fédéral a
mis en consultation hier: l’impôt anticipé ne sera plus prélevé auprès
des caisses de pension, ni des investisseurs étrangers, sur les revenus
d’obligations. La situation actuelle conduit en effet les entreprises
suisses à lever des capitaux de tiers à l’étranger, en maintenant des
structures ad hoc, pour contourner les charges administratives liées au
remboursement de l’impôt, longtemps après les faits. «Nous voulon...
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