26 avril 2012, 22h22
Partager
Les votes consultatifs des assemblées générales sur les rapports de rémunération ne représentent plus une simple formalité. Ignorer des minorités solides de 40%, comme UBS et Novartis l’ont fait dans le passé, pourrait se révéler une stratégie dangereuse pour les dirigeants. Certes, seuls Weatherford (rémunérations) et Transocean (décharge) ont été confrontées à des votes négatifs en 2011. Mais la résistance récente manifestée par les actionnaires de Citigroup et de Barclays a montré que cette l...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT