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Les monnaies virtuelles et non traçables alimentent-elles le financement de la cybercriminalité?

Le bitcoin est utilisé dans la majorité des demandes de rançons (rançongiciels) de piratage informatique à destination des entreprises et des particuliers. Le point avec Solange Ghernaouti de l’Unil, experte en cybersécurité.

Solange Ghernaouti, professeur à l'Unil et experte internationale en cybersécurité
Solange Ghernaouti, professeur à l'Unil et experte internationale en cybersécurité
10 mai 2016, 16h55
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Les demandes de rançons après un piratage se multiplient contre les entreprises et les particuliers. Un logiciel malveillant (maliciel) s’immisce dans l’ordinateur et crypte toutes les données informatiques. Alors que la traque classique des policiers pour démasquer les criminels passe par l’analyse des flux financiers, le recours à l’utilisation d’une monnaie virtuelle, comme le bitcoin, efface toute traçabilité. L’interview complète de Solange Ghernaouti, professeur à l’Unil et experte interna...
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