«Les marques font entre 300% et 400% de profit en plus avec la vente en direct»

« Aujourd’hui le problème n’est pas de produire les montres, mais de savoir les vendre. » Pour  Thomas  Baillod, spécialiste de la distribution horlogère, l’industrie continue à vendre des garde-temps de la même façon qu’il y a  50 ans. Si les grands groupes horlogers ont déjà commencé à revoir leur stratégie, les indépendants peinent à se distancer du  modèle traditionnel. L’acheminement des produits se fait via un réseau mondial de  distributeurs  qui vendent les montres  à des détaillants,  q...