02 octobre 2016, 19h44
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Pour dresser le «Procès de la communication» (Manitoba/les Belles-Lettres) Thierry Wellhoff part du postulat que la communication est accusée d’être superficielle, manipulatrice et de polluer l’espace sonore et visuel. Dès qu’une chose est perçue comme manquant de fond, voire fausse, il est même d’usage de lui attribuer. Elle serait donc fautive de manipulation. Or la communication est partout: dans la politique, les entreprises, le marketing, les associations, sans oublier la communication inte...
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