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Les effets limités du franc fort sur l’immobilier

Dtz. Le marché suisse de l’immobilier commercial est globalement à contre-courant de la reprise européenne. L’effet devise ne devrait pas jouer un rôle déterminant.

19 février 2015, 21h06
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Le marché de l’immobilier commercial suisse ne devrait pas excessivement souffrir de la force du franc, notamment car la grande majorité des acheteurs

sont des investisseurs institutionnels domestiques. Ce biais est dû à la présence de grands investisseurs sur le territoire (banques, assurances, caisses de pension, etc) mais aussi au fait que la plupart des biens sur le marché suisse n’ont pas une envergure suffisante pour attirer les investisseurs étrangers, qui visent souvent des biens...
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