14 septembre 2021, 15h45
Partager
Préférer les alternatives biosimilaires aux traitements biologiques de référence représenterait un potentiel d’économie de 100 millions de francs pour les assureurs par année, annonçait Curafutura, l’association des assurances maladie qui regroupe la CSS, Helsana, Sanitas et KPT, au printemps dernier. Le biosimilaire est au médicament biologique ce que le générique est aux préparations chimiques: un équivalent moins cher ayant les mêmes effets pour le patient. Contrairement à un générique qui es...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT