02 février 2018, 13h47
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Dans cette affaire hors-norme, où pour la première fois de grands patrons français sont soupçonnés d'avoir financé le terrorisme, Lafarge est suspecté d'avoir versé entre 2011 et 2015 plus de 12 millions d'euros à des groupes armés en Syrie, dont l'Etat islamique (EI), pour continuer à faire tourner sa cimenterie de Jalabiya (nord) malgré la guerre.
Certains responsables du groupe, dont l'ex-directeur général adjoint Christian Herrault, ont reconnu avoir été soumis à "une économie de racke...
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