30 janvier 2018, 8h49
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Ces travaux, effectués sur des souris et des cellules humaines en laboratoire, qui laissent penser que la vapeur de nicotine serait peut-être plus nocive qu'on ne le pensait, ont été menés par des chercheurs de la faculté de médecine de l'université de New York publiés lundi dans les comptes-rendus de l'académie américaine des sciences (PNAS).
Les rongeurs, exposés au vapotage pendant douze semaines, ont aspiré de la vapeur de nicotine équivalente en dose et durée à dix ans de vapotage pour les...
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