13 décembre 2015, 18h44
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Les statistiques de la BNS sur les investissements directs suisses à l’étranger (et vice versa) peuvent servir comme un proxy pour au moins trois interrogations récurrentes. Avec un décalage temporel de près d’une année malheureusement. Tout d’abord, il permet de retracer quelque peu l’activité de délocalisation des entreprises suisses. A contrario, de juger de l’attractivité du marché suisse pour des entreprises étrangères. Le bilan entre les deux flux donne finalement des indications sur l’eff...
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