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Le secteur temporaire stagne mais Interiman n’en a que faire

En 2019, le groupe Interiman a fondé une enseigne ciblant les sciences de la vie. En 2020, il créera une filiale dédiée au portage salarial et poursuivra ses efforts en numérisation de ses outils et conquête du marché alémanique

Robin Gordon. Le CEO du groupe l'a rejoint en 2008 avant d'en prendre la tête en 2012. Il perçoit l’initiative de l’UDC pour une immigration modérée comme inquiétante.
Robin Gordon. Le CEO du groupe l'a rejoint en 2008 avant d'en prendre la tête en 2012. Il perçoit l’initiative de l’UDC pour une immigration modérée comme inquiétante.
Sophie Marenne
L'Agefi - Journaliste
25 février 2020, 19h32
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La première agence d’intérim de Suisse romande se porte bien. Depuis sa création en 1998, Interiman Group a connu une croissance continue. L’année 2019 n’a pas dérogé à la règle. Ses ventes ont augmenté de 12,5%, établissant son chiffre d’affaires à 365 millions de francs. La progression est cependant moins forte que l’année précédente, où elle grimpait à 23%. «La faute au marché helvétique du placement temporaire qui s’est contracté de 4,5%, selon les chiffres de Swissstaffing», déclare Robin G...
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