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Le marché de l’art a reculé sans le support du high-end

Art Basel. Le contexte reste difficile pour les oeuvres majeures. Sur lesquelles repose tout le potentiel de croissance.

22 mars 2017, 20h01
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Le marché de l’art démonte une nouvelle fois sa dépendance au segment supérieur. Une force évidente en période de haute conjoncture, qui  se traduit dans une volatilité extrême dans les périodes plus critiques. Le marché de l’art, qui a affiché une hausse spectaculaire jusqu’en 2014, pour atteindre son plus haut historique à plus de 68 milliards de dollars, tous canaux confondus, a perdu du terrain pour la deuxième année consécutive, en recul de 11% par rapport à 2015 à 56,6 milliards de do...
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