Le groupe entre transparence techno et opacité financière

Depuis hier midi à Genève, il suffit d’ouvrir une application sur un smartphone pour identifier immédiatement quels chauffeurs se situent aux alentours, commander une course et la régler sans espèces, ni carte bancaire. Bienvenue chez Uber, la société californienne qui compte ni plus ni moins «redéfinir la mobilité urbaine». Et comme internet ne connaît pas de frontières, son terrain de jeu est mondial : le service est aujourd’hui présent dans plus de 200 villes et 40 pays (L’Agefi d’hier).
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