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La visibilité des start-up est aussi l’affaire du secteur privé

Au-delà du savoir-faire helvétique, il faut appuyer le «faire-savoir» de la Suisse en créant des réseaux non étatiques.

Pierre Mirlesse. En février il guidera des entreprises suisses dans une expédition à Singapour pour les aider à s'y établir.
Pierre Mirlesse. En février il guidera des entreprises suisses dans une expédition à Singapour pour les aider à s'y établir.
Sophie Marenne
L'Agefi - Journaliste
22 janvier 2018, 21h51
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Avec 43.416 sociétés fondées en 2017, un record selon la plateforme Startups.ch, le sol helvétique est très certainement une terre fertile pour l’entrepreneuriat. Mais cela ne fait pas du pays une “start-up nation” pour autant. La visibilité des sociétés suisses à l’international fait défaut. Vu les limites du marché intérieur, bon nombre d’entre elles devraient pourtant regarder au-delà des frontières.  «Dans ce monde hyper-connecté,  l’accès au marché mondial s’est ouvert à tous», r...
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