22 août 2013, 22h27
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Dans un article daté du 21 août, Mediapart présente Pierre Condamin-Gerbier comme un lanceur d’alerte victime de la raison d’Etat en Suisse (lire l’éditorial en page 1). Combinant ton exalté et erreurs factuelles, le papier n’est pas loin de dresser le portrait d’un prisonnier politique, privé de sa liberté pour des motifs arbitraires et ce, peu après avoir «commencé à livrer ses premiers secrets» aux juges anti-corruption français, le 2 juillet à Paris. Or la justice suisse déjà s’est exprimée ...
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