27 mars 2012, 22h17
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Quantité ne rime pas avec qualité. Voilà le constat assez peu flatteur que formule à l’égard de la gestion de fortune en Suisse Patrick Raaflaub, directeur de l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma), qui présentait hier ses perspectives annuelles. Nombre de banques et de gestionnaires n’ont selon lui pris conscience que tardivement que le vent avait tourné et qu’un modèle d’affaires «trop fortement axé sur les fonds non déclarés» pourrait devenir un problème. La Finma ...
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