09 février 2015, 23h03
Partager
Il ne faut pas s’attendre à ce que la commission des finances du Conseil national, qui a siégé hier et poursuit sa séance ce matin, accède aux demandes des cantons contributeurs à la péréquation financière. Ce qu’il faudra bien un jour qualifier de persécution d’une minorité par une majorité prend des dimensions qui soulèvent de plus en plus de questions. Le fédéralisme suisse a très bien fonctionné avant que la péréquation ne vienne s’y ajouter en 1959. Or entre-temps ce sont des cantons qui n’...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT