26 mars 2015, 22h09
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En à peine dix ans, la Suisse est passé d’un système de «petite assistance administrative» à l’impôt libératoire puis l’échange d’informations à la demande (y compris groupée), pour ensuite glisser vers la «grande assistance», avant l’avènement de l’échange automatique de renseignement (EAR). Un profond bouleversement bancaire, fiscal et culturel, qui ne s’est pas fait sans heurts mais inéluctablement. Le cabinet Mazars l’a rappelé hier à Genève.
Pour rappel, en avril 2013 l’Association sui...
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