04 mai 2014, 21h19
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Quel est le point commun entre un luthier, un sculpteur sur pierre, un créateur de vêtements de fourrure, un maréchal-ferrant et un mécatronicien de remontées mécaniques? Ce sont des métiers à faible effectif qui comptent moins de 80 apprentis par an. Inquiète de l’avenir de ces professions parfois d’une autre époque, l’Union suisse des arts et métiers (Usam) rappelait hier à Berne l’importance de la formation duale pour l’avenir des micro-entreprises. Ce qu’elle demande: une certaine souplesse ...
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